Raw Littérature

La pesanteur de l’esprit de sérieux, qui a contaminé le roman français contemporain (il convient de dissocier le roman français du roman francophone car la littérature québécoise, par exemple, montre une vitalité et une audace particulièrement rafraîchissantes)

Une facétie de l’ère du temps – délicieusement ironique, formidablement mordante – offre à Patrice Jean dans son dernier roman La vie des spectres, le point de départ d’une réflexion profonde, passionnante et réjouissante sur le temps qui passe et la trace que chaque génération laisse – en bien comme en mal ! – à la marche de l’Humanité.

La pesanteur de l’esprit de sérieux, qui a contaminé le roman français contemporain (il convient de dissocier le roman français du roman francophone car la littérature québécoise, par exemple, montre une vitalité et une audace particulièrement rafraîchissantes)

Lorsque l’on me demande pourquoi je lis surtout de la poésie, je réponds que c’est l’alpha et l’oméga de l’écriture.

C’est qu’on peut rester proche, mais la brèche s’installe de toute façon ».
Pour parler de ce qu’il reste de tout ça, de Fanny Desarzens, sorti aux éditions Slatkine, je ne peux que penser à cet extrait

Lorsque l’on me demande pourquoi je lis surtout de la poésie, je réponds que c’est l’alpha et l’oméga de l’écriture.

À dixième ouvrage, chronique OLNI – Objet Littéraire Nivelé par l’Incroyable – pour Le Rêve du Jaguar de Mighel Bonnefoy aux éditions Rivages, un roman épopée de destins formidables liés à l’histoire d’un pays, le Venezuela, sur trois générations.

« Terrassant » est le premier mot qui m’est venu à l’esprit en terminant ce roman. Ilaria a huit ans, et son père un soir de sortie d’école l’emmène avec lui sur les routes d’Italie.

2h30 de bonheur. Voilà ce que je retiens du livre Deux filles publié par Michel Layaz aux éditions Zoé.

Vous êtes-vous déjà demandé s’il était normal de promener ses amis en laisse – en dehors d’une soirée Dèmonia – ou pourquoi nous ramassions les crottes de notre meilleur ami ? Nicolas Tavaglione, oui.

Warning roman identitaire fort ! Ici, il n’est pas question de récit simple mais de quête, de soi, de sa place dans le monde, et de beauté. C’est le récit d’un apatride chez lui, surtout chez les siens.

Il y a d’abord une agréable surprise, pour moi qui ne suis pas très “saga” – cela implique de me souvenir de trop de personnages que je ne perçois toujours que secondaires

Qu’est-ce que la “Sixième Suisse” ? Alors que la “5ème Suisse” désigne les expatriés helvétiques, l’auteur Federico Rapini suggère qu’il pourrait s’agir d’un nouveau territoire suisse. Fake news ou fait réel ?

Catalina, née à l’orée de Perpignan au tout début des années 80, grandit au sein d’une famille gérée de main de fer par sa matriarche, Avia Magne. À 8 ans, ce monde, focalisé sur la vie du Mas, vole en éclat avec le viol de son lointain cousin Ferràn sur sa femme.

J’ai un rapport très particulier avec la poésie, non pas parce que j’en écris aussi, mais parce que de mon point de vue il n’y a pas d’écrit qui permette mieux l’interrogation, le regard sur le monde, qu’elle. Elle s’attaque aux sens, formée ou déformée, et invite à la philosophie et à la contemplation

C’est le règne du pétrole, celui qui s’infiltre partout, dans les pensées, les vêtements, le nez, les pores de la peau.

Warning roman identitaire fort ! Ici, il n’est pas question de récit simple mais de quête, de soi, de sa place dans le monde, et de beauté. C’est le récit d’un apatride chez lui, surtout chez les siens.

Warning roman identitaire fort ! Ici, il n’est pas question de récit simple mais de quête, de soi, de sa place dans le monde, et de beauté. C’est le récit d’un apatride chez lui, surtout chez les siens.